10 janv. 2015

Le temps n'attend personne : 7 août 2013 et ou 2014 21h42

Mes seins lourds, le frémissement de tes doigts enserrant leurs pointes brunes et érigées incitent ton sexe à s'égarer entre mes lèvres.

Tes doigts agiles font frémir mes sens et hurler mon corps arqué et brûlant.

Tu introduis doucement ta verge et je me laisse glisser dans la luxure de tes exigences.

Je me laisse aller à mouiller tes doigts et votre lit face au miroir.

L'accélération de ma respiration à l'unisson de tes pénétrations me guident vers la jouissance et le déferlement du plaisir.

Non Clément, je ne t'attends plus pour jouir, je devance ton flot de sperme que tu répandras où Bon te semble.


Le temps n'attend personne : 8h42

J'ai besoin de L'écrire, j'ai l'irréprEssible envie de ressentir la chaleur de ta présence envahissant mon corps dans l'étreinte si sensuelle de tous les sentiments qui la fondent.

Reviens, même si l'illicite est depuis cinq ans notre moteur, notre raison.

Lorsque l'accord tacite est "up to date", je suis certaine d'être Belle et le sang qui bat dans mes veines nourrit mes désirs et mes pensées.

 LES SENTIMENTS QUI NOUS LIENT VIEILLIRONT AVEC NOUS.



23 août 2013

2013



Elle et Lui n'ont jamais cessé de se voir et faire l'Amour et Baiser comme si chaque fois était la dernière.

Clément l'invite dorénavant chez Lui en l'absence de Flo. tandis qu'Elle ne sait jamais pourquoi il ne Lui dit jamais non lorsqu'Il n'est pas dispo. et s'abstint donc de réponse. 
Il lui a signifié qu'Elle représentait ce qu'Il avait toujours caché. 
L'Infidélité dans ce que cela a de plus tendre, stimulant voire commun.
Personne ne sait à part Eux ce qui les lie.
Ne cherchez pas à savoir, vous en seriez jaloux.

1 juin 2010

Ne rien dire pour ne pas mentir







La pierre angulaire de tes relations, de ma soumission. L'écueil sur lequel j'échoue par la régularité de tes trahisons. La Sphère dans laquelle tu excelles au regard des plus stupides. Le Miroir dont les éclats mortels atteindront le coeur et la raison de ta vie.

NE RIEN DIRE POUR NE PAS MENTIR, vaut -il mieux que le dire pour s'en sortir ?

Pleurs sur Tes Nuits








Mon corps pleure, aime & gémit Sous Tes Envies. Et je T'aime Toi, Toi qui ne m'apprécies que par ENVIE de Mes Qualités.

Pose Cigarette




J'ai aimé la nonchalance et la sensation de Mon corps frêle tour à tour livré/abandonné à la Puissance de Ta Virilité Enserrée en Moi.

J'ai aimé et aimerai encore Te retrouver par ces nuits de liberté octroyée & ignorée.

J'aimerai toujours que Tu reviennes T'abandonner à la luxure de Mes caresses, à l'envi de Ma tendresse, à l'efficacité incertaine de Mes mains & de Mes soins apaisant Tes tensions, veillant sur Ton abandon.

Je n'aimerai Jamais ce train et ces fins de nuit qui t'emportent trop certainement pour un certain ailleurs, pour un ailleurs et "au revoir" qui ne m'appartiendront jamais.

Take care about YOU but nothing else or no one else. 

25 mars 2010

Sauvagement Baisée




"Ma Puce, laisse - Toi faire, détends - toi, je veux et je vais te faire jouir avec Ma Bite dans Ton P'tit Cul, Je ne T'ai jamais menti, laisse - Toi aller, mets - Toi à quatre pattes, oui tends - Moi Ton Cul comme ça, Tu vas aimer et jouir."

Elle se savait pourtant encore réticente à la pénétration anale qu'ils désiraient autant l'Un que l'Autre. 
Bien avant son arrivée, elle s'était sentie langoureusement assoiffée d'envies de sa queue au plus profond d'Elle. 
Sa chatte inondait en jets aux arômes fruités d'un intense plaisir. Ses Jouissances furent infimes et continues en réponse aux caresses de son Amant, la laissant par instants inerte, par d'autres avide de son membre qu'Elle avalait et suçait alors sans relâche.

Plus Il enfonçait ses doigts dans son merveilleux petit cul tendu, plus elle s'activait à le satisfaire en fellations gourmandes. 


L'excitation conjuguée de ses profondeurs laissait encore se répandre une cyprine chaleureuse, délicieuse et  abondante.
La queue large et dure de Clément la fit hurler tant l'intensité de ses va et vient emplissait son vagin et carressait de son gland ses parois tout en écartelant sauvagement ses chairs. 


La fulgurance du plaisir ressenti irradiait au creux de ses reins et dilatait son cul à l'envie d'y être tout aussi brutalement pénétrée.

Elle s'offrait en cambrures provocantes, tendait ses seins à la bouche à leur hauteur. 
Au bord de la jouissance, elle marquait alors une pause, esquivant son corps et échappant à l'emprise de son Amant, lui prodiguant en retour des caresses le conduisant aux abords du précipice de la jouissance imminente.


De crainte de se déverser en elle trop vite, malgré l'urgence et le peu de temps concédé en cette fin de journée, il lui ordonna de se laisser enfin sodomiser, de Lui offrir l'étroitesse d'un passage menant aux délices insoupçonnés d'une jouissance subtile et unique.

Tremblante de ce désir promis et de crainte, elle se laissa pénétrer en douceur d'abord, mais hélas subjugué par son désir et son plaisir bestial, Il ne put rester tendre et doux au regard de ce que sa chienne était et représentait en lui offrant ainsi son corps. 
La furie qui s'empara alors de ses sens à vouloir la posséder amena la douleur et l'abandon de cette pénétration.

Séchant ses larmes, Ils s'abandonnèrent au gré de leurs envies sages ou débridées pour jouir fébrilement avec la tendresse de l'Amour qu'ils se savaient intense l'Un pour l'Autre.

24 févr. 2010

Sodomies





Il venait de regretter douloureusement de s'être laissé aller au plaisir d'éjaculer dans la bouche de Nathalie.

Il n'avait pu résister (tout comme Elle - même ne l'aurait pu si Il l'avait léchée) à la succession de tant d'expertes fellations au cours de cette soirée.

"Lèche un peu ma queue, bouffe - la !"

Elle s'était alors délectée dans une application docile à sucer, à engloutir Sa verge, ainsi qu'en une délicate torture du gland de Son Amant, assortie de caresses linguales tout autour.

Elle exultait à posséder ainsi Clément. Il devenait Son objet sexuel, Son homme exclusif.

Cette appropriation illégitime devenait nécessaire à plus d'un titre tellement Elle tenait à effacer de son esprit l'image de toutes ces filles qu'Il s'autorisait ou s'était autorisé à baiser.

Elle avait eu fréquemment envie de sa bouche, de ses lèvres, de sentir sa langue explorer ce qu'elle Lui donnait, comme autant de JE T'AIME défendus mais par là même exprimés.

A genoux et cambrée devant Lui, elle permettait à Clément de caresser délicatement son cul.

Au souvenir de l'étroitesse de sa partenaire qu'Il voulait sodomiser pour la faire jouir, Il jouait avec ses doigts fins et habiles dans cette entrée qu'Il avait pris le temps d'humidifier, puis s'aventurait plus profondément dès que Nathalie haletante s'ouvrait au plaisir de la nouveauté.

Elle souhaitait autant qu'Elle le redoutait que Clément saisisse son corps et Lui ordonne une position adéquate à la pénétration progressive de son cul disposé à Le recevoir.

Elle rêvait de revivre ce moment esquissé lors de leur dernière rencontre, quand allongé sur Elle, il Lui avait tendrement soufflé de ne pas crier sous l'assaut de sa bite démesurée au regard de son inexpérience.

Mais Elle venait d'empêcher son mouvement de retrait pour s'extraire de sa bouche. 
Il avait tenté de retenir son éjaculation, alors qu'Elle Le voulait & aimait Sa saveur.

Ce soir, Elle n'aurait pas goûté aux délices de la Sodomie. 
Ce soir Non.

Verrouille Ton Coeur

      
Verrouille Ton Coeur, ainsi à l'abri des éclats de Sentiments que je Lui destine, Mes larmes lointaines ne t'atteindront que Rarement.

Emprisonne Tes Envies de Liberté tant que tu Voudras, la clé suspendue au crochet des griffes de ce qu'elle ne possède finalement pas, rouille et s'effiloche au Temps qui passe.

Crois - Tu sincèrement que ce soit ce qui habilla mes mots tracés sur TON Sommeil qu'en retour j'aurais osé te demander ?

Je n'ai rien à te donner d'autre que des Instants volés au gré de nos corps abandonnés & échoués sur les rives du plaisir abordées.

21 févr. 2010

Son Retour.





Le revoir sans une larme versée, Le retrouver au comble de l'émotion débordante de sa dureté. Et en écrivant ces lignes l'imaginer dans cet instant qui précède notre dualité.
Leurs lèvres s'entrouvrirent alors de nouveau mais plus farouchement voire sauvagement et longuement qu'auparavant, à la recherche fébrile de leurs langues ne demandant qu'à mêler leurs envies, leurs désirs.
La gageure de leurs quelques heures, serait de passer inaperçus dans sa maison vide à l'accoutumée, mais pas ce soir - là.

Elle l'accueillit nue et gracile sous son tee - shirt trop grand. Lui débordait de sensualité sous la version plus minimaliste du sien, laissant saillir ses muscles et sa corpulence inverse à celle de Nathalie frêle et fragile.

Assise sur Lui, les cuisses écartées, légèrement cambrée, Sa peau contre la sienne, Il orienta instinctivement et très directement sa main entre les fesses de sa partenaire. Un de ses longs doigts agiles glissa sans mal en Elle. Elle éprouva alors la délicieuse sensation de ses lèvres se gonflant et l'infime chaleur de cette caresse. Sa cambrure s'accentua offrant à son Amant ses seins qu'il prit le temps d'honorer de sa bouche ainsi que de sa main libre.

Elle parvint à libérer son sexe déjà dur et imposant entre ses doigts, mais l'enserrer ainsi fût imparfait. Clément la saisit alors par la taille, la souleva pour la pénétrer délicatement et ressentir son sexe avide et large écarter sa douce & brûlante intimité. L'étroitesse du passage emprunté fût délicieusement ressenti par l'un et l'autre, Elle gémissante, Lui étouffant ses cris en introduisant son index dans sa bouche.

Humide et ruisselante, pour pouvoir goûter au nectar sécrété en abondance, elle retira la verge imprégnée avec quelques regrets et lècha l'arôme fruité qui s'en dégageait encore.
Clément apprécia la délicatesse de la situation et retenait ses râles toujours assourdis. Nathalie entre ses cuisses s'activait de sa langue et savourait la douceur et le velouté de la fine peau bleue/violette du gland sensible.
Ses mains explorèrent ses fesses et écartèrent sensiblement leur raie pour effleurer et accéder puis délicatement entrer un doigt fin en Lui. Il tenait à être ainsi sodomisé avec légèreté, avec délicatesse.

La teneur des échanges 2010 fût alors de cette façon consentie & scellée. Il s'appliquerait à écarter les craintes de Sa Chienne réticente auparavant à tout acte de sodomie. Son Amour pour Lui sans limite et absolu aurait raison de tout ce qui avait été jusqu'à présent verrouillé.

Ils se laissèrent glisser sur le sol recouvert d'un tapis. Nathalie écarta ses cuisses à l'invitation d'être goûtée et excitée. Sa vulve écrin de son minuscule clitoris fût à son tour explorée par la langue experte et gourmande de ce rite exquis. En retour il s'abreuvait  des délices déversés. Pourtant Elle ne jouirait pas de ses caresses torrides qui irradiaient son bas ventre et dilataient son cul convoité. Non Elle réservait  sciemment  cet ultime don au face à face final pendant lequel elle voulait se perdre & se confondre dans son regard.

10 févr. 2010

Mon Essentiel





Soif de TOI, Faim de NOUS, je laisserai Ta Bouche se désaltérer à la Source de l'envie et des délices fruités, aux Origines du Plaisir provoqué et si Exalté que pour enfin Lui rendre, Tu devras partager Son Secret de Femme.

5 févr. 2010

Entre Rêves et Réalité.






J'ai rêvé récemment de ses baisers en écho au dernier automne quand inespérément il m'était revenu.

Mon Intuition née d'infimes riens semés ici ou là, soufflaient à mon inconscience l'espoir que notre addiction l'un pour l'autre serait plus forte que ces chaînes nouvellement offertes et les briserait.

Clément à l'unisson  de mes désirs et sentiments déshabilla le silence et la pudeur qu'avaient revêtus ces instants d'hiver.

Il est Mon Ange et reste au Coeur de la passion dévorante qui Nous lie.

Nos heures nocturnes passées à exacerber nos corps et nos sens n'appartiennent ni au passé, ni au présent ni au futur de l'incertitude, mais à l'atemporalité de nos rencontres.

Avec fougue et soulagement, ils retrouvèrent à travers l'exploration intime de leurs chairs désirables et désireuses en  ce milieu de nuit, le chemin de leurs émois, le trouble du plaisir dispensé, le partage de la jouissance repoussée.

29 janv. 2010

Dernière Etreinte






Clément resta allongé sur le dos lorsqu'Elle eut terminé de le masser amoureusement.

Encore nue et frissonnante, la poitrine aux seins gonflés et aux tétons durcis, tendue, elle s'approcha de Lui, ouvrit ses cuisses pour une vision éblouissante sur sa vulve mouillée.
Il glissa une main entre les jambes écartées de Nathalie et introduisit deux doigts dans la fente ouverte, enfin Il apprécia et savoura l'humidité de son vagin.
Cette merveille trempée stimulait sa virilité indolente, de son pouce Il augmenta la pression sur son clitoris sensible à l'extrême. De son autre main doucement, Il emprisonna tour à tour ses seins lourds d'envie.

Elle gémissait et décuplait son plaisir par des râles sensuels, rejetant la tête en arrière, Elle saisit la verge de son Amant et l'enserra de ses mains expertes. Sa dureté la ravit. Cambrée, secouée de frissons, Elle le gratifia de jets timides et de coulées suaves.

Elle eut ensuite envie de poser sa chatte lisse sur sa bouche aux lèvres gourmandes afin qu'il goûte sa chaleur. Se faisant, elle se tortilla toujours à genoux  jusqu'à ressentir le plaisir de la pénétration de sa langue, au creux de ses reins.

Agrippée au rebord de la table, elle se soulevait et vagabondait par ondulations au dessus de Lui pour qu'aucun recoin  de peau entre ses cuisses ne puisse être oublié.

Entièrement livrée à Lui, l'Excitation culminait et débordait savoureusement. Sans retenue l'extase se déversa dans son bas ventre. Sa jouissance fût intense et fulgurante.

Elle gisait entre les jambes de cet homme lorsqu'Il s'agenouilla pour saisir son corps et l'allonger. Il empoigna ensuite fermement les jambes de Nathalie par les chevilles et les écarta à l'extrême tout en les élevant.

Impudique ainsi ouverte, Il La pénétra de toute la force de son corps puissant et son sexe dur s'engouffrait pour atteindre les profondeurs de ses chairs.

Leurs visages  et leurs regards plongés dans l'extase du plaisir quand les baisers cessaient, Il put jouir et se déverser en Elle sans qu'Ils sachent que ce serait la dernière fois de cette 9ème année d'un XXIème siècle naissant.

23 janv. 2010

Des Larmes sur Ton silence.


                                             


Des nouvelles en ce soir d'hiver trop long, teintées d'aveux d'impuissance sèment le trouble dans Mon Esprit et libèrent les Sentiments interdits en Torrents de Larmes oscillant entre illicites et doux amers.

De maladresses en incompréhensions : j'ai tout écrit.
Effacements salvateurs  & doutes persistants pour maintenir le cap jusqu'au terme de la tempête qui agite Ton quotidien.

Tu me reviendras par la force de ce qu'elle n'aura pas tué en TOI. 
Ce que je ressens et exprime ne nous séparera pas : mon intime conviction a raison, ma lucidité quant aux peurs qui te font renoncer éclairera notre avenir.

12 janv. 2010

Je Vis.



Je vis la nuit, je vis la peur, je vis les larmes & la douleur. Je vis sans TOI, je vis d'ivresse, trop près de la tendresse que tu as su me donner, je vis la fièvre au front, le coeur transi, je vis mes pensées, déchirée par le doute, je vis à vif, et les cris de cette vie sonnent et résonnent en cette nuit peuplée de rêves teintés au vitriol le TON ABSENCE.

1 janv. 2010

L'envers du décor.

J'ai rêvé en ce matin nouveau dédié aux promesses d'une aube déjà lointaine, de Ta présence à mes côtés.

Je voulais cesser de détruire, me libérer des doutes qui hantent ce présent insipide et morbide.

Le compte à rebours qui marqua sa nuit sur le dance floor lui avait procuré une sensation inégalée et la vision bienfaitrice d'un 2010 inscrit « au tableau » inéluctablement chaque fois qu'elle serait à même de le faire.

Gommer ce qui pèse, se raccrocher à Tes derniers mots « Je te souhaite de bonnes fêtes de fin d'année. » pour ne pas sombrer ou bafouer l'Amour que je Te voue.

23 déc. 2009

Best Whises & Merry Chrismas




Ta douceur, tes doutes, tes incertitudes conjuguées aux miennes, sont ce qui légitime qu'en 2010 tu me reviennes.

18 déc. 2009

Neiges



Il neigeait ce jour - là sur les toits, les chaussées et Ses pensées.
Il avait fait trop froid la nuit précédente, Ses larmes de fatigue & de solitude L'avait touché.
Clément La retrouva, prit dans Ses bras cette Fille qu'Il baisa par Amour.
Nathalie lut sur Son visage les stigmates d'une nuit peu sereine et tourmentée.
Sans hésiter, IL Lui fit don de Son sexe dur et bandé.

Sans discontinuer, Leurs caresses, Leurs mains, Leurs lèvres, Leurs corps révèlèrent ce qu'Ils étaient et seraient l'Un pour l'Autre longtemps encore.
Sa jouissance en Elle n'aurait pu être retenue, le cul de Nathalie à quatre pattes, tendue et offerte avait raison de tout.

Sa Chienne Amoureuse tout autant qu'Impudique maîtrisait son ardeur et usait de son corps svelte et souple pour sentir s'activer en Elle, la large queue au gland gonflé de désirs de son Amant, affleurant et surexcitant ses chairs intimes et secrètes, humides et accueillantes, promises à la jouissance exquise qu'Il Lui procurait inlassablement.

"Je n'ai pas joui, non je ne dors pas."

Elle avait terminé de masser sagement son dos douloureux pour finalement y avoir inscrit plusieurs fois de son index glissant : "Clément Je T'aime."

Alors Il put se libérer des reproches qui avaient manqué de LES séparer, pour déverser en Elle l'Amour éprouvé souverainement.

16 déc. 2009

Sourires // NO TE METAS.




Elle sentit trahie et déçue, en cette période hivernale de réminiscences morbides.

Le soupçonnant de constance dans des recherches XXL suicidaires, Elle fût une fois de plus rattrapée par la supposée "réelle" bassesse de Son merveilleux Amant.

N'étant pas Alice, de silences en non - réponses, d'absences en carences, Elle surnagea péniblement la nuit durant et sombra le jour venu dans le rôle de l'Auteur indécise sur l'opportunité de tentatives vaines ou fructueuses d'envois multiples en direction de l'Edition parisienne.

8 déc. 2009

Rien Ma Puce.



A proximité du terrain de moto - cross qu'Il ne connaissait pas, l'habitacle réduit et surchauffé de sa Clio leur servit de refuge durant les quelques heures qu'Ils passèrent à s'aimer.

L'inconfort qu'il ressentait Le fit redoubler de tendresse et d'attentions à l'égard de sa petite chienne qui fébrilement acceptait ses caresses ainsi que ses multiples pénétrations.

La violence & l'intensité de son désir à posséder ce p'tit cul s'exprimait sans retenue et marquait la peau de Nathalie.

"Tu aimes que je pénètre ton cul, tu aimerais que j'y introduise ma Bite ?
- Hummm,  elle est trop grosse.
- Nan tu verras ! Si tu savais le nombre de filles que j'ai fait jouir comme ça !
- Lèche Ma queue  Ma P'tite Pute ! Caresse - Toi , oui Tu mouilles bien !
- Encore Clément !"

Son majeur s'activait divinement à exciter intensément les parois sensibles de son intimité et engendrait  des coulées chaudes et délicatement parfumées.
Elle exposa son clitoris à La langue de Clément. qui la fit fondre de plaisir et hurler au bord de l'orgasme qu'Elle laissa exploser en Elle.

La fellation qui Lui fut faite en retour se déversa dans sa bouche.
Pour la première fois Elle goûta son Amant : Il avait la saveur intense et particulière des hommes qui baisent leur partenaire sans retenue : ce qui était inédit pour Elle.

Pour la première fois avec Elle, Il Jouit librement et exprima par des mots tendres des sentiments à son égard.