25 mars 2010

Sauvagement Baisée




"Ma Puce, laisse - Toi faire, détends - toi, je veux et je vais te faire jouir avec Ma Bite dans Ton P'tit Cul, Je ne T'ai jamais menti, laisse - Toi aller, mets - Toi à quatre pattes, oui tends - Moi Ton Cul comme ça, Tu vas aimer et jouir."

Elle se savait pourtant encore réticente à la pénétration anale qu'ils désiraient autant l'Un que l'Autre. 
Bien avant son arrivée, elle s'était sentie langoureusement assoiffée d'envies de sa queue au plus profond d'Elle. 
Sa chatte inondait en jets aux arômes fruités d'un intense plaisir. Ses Jouissances furent infimes et continues en réponse aux caresses de son Amant, la laissant par instants inerte, par d'autres avide de son membre qu'Elle avalait et suçait alors sans relâche.

Plus Il enfonçait ses doigts dans son merveilleux petit cul tendu, plus elle s'activait à le satisfaire en fellations gourmandes. 


L'excitation conjuguée de ses profondeurs laissait encore se répandre une cyprine chaleureuse, délicieuse et  abondante.
La queue large et dure de Clément la fit hurler tant l'intensité de ses va et vient emplissait son vagin et carressait de son gland ses parois tout en écartelant sauvagement ses chairs. 


La fulgurance du plaisir ressenti irradiait au creux de ses reins et dilatait son cul à l'envie d'y être tout aussi brutalement pénétrée.

Elle s'offrait en cambrures provocantes, tendait ses seins à la bouche à leur hauteur. 
Au bord de la jouissance, elle marquait alors une pause, esquivant son corps et échappant à l'emprise de son Amant, lui prodiguant en retour des caresses le conduisant aux abords du précipice de la jouissance imminente.


De crainte de se déverser en elle trop vite, malgré l'urgence et le peu de temps concédé en cette fin de journée, il lui ordonna de se laisser enfin sodomiser, de Lui offrir l'étroitesse d'un passage menant aux délices insoupçonnés d'une jouissance subtile et unique.

Tremblante de ce désir promis et de crainte, elle se laissa pénétrer en douceur d'abord, mais hélas subjugué par son désir et son plaisir bestial, Il ne put rester tendre et doux au regard de ce que sa chienne était et représentait en lui offrant ainsi son corps. 
La furie qui s'empara alors de ses sens à vouloir la posséder amena la douleur et l'abandon de cette pénétration.

Séchant ses larmes, Ils s'abandonnèrent au gré de leurs envies sages ou débridées pour jouir fébrilement avec la tendresse de l'Amour qu'ils se savaient intense l'Un pour l'Autre.